عودة الدواعش : بعض الحلول والاقتراحات
« Jihadistes de retour : quelques suggestions. »
Une fois devant les juges d’instructions du pôle anti-terroriste, ou après leur prévisible condamnation à de lourdes peines, demeure l’épineux problème de leur incarcération. Car il n’échappe à personne le danger de les voir contaminer les autres détenus par leur foi empoisonnée. L’Etat est, dit-on, prêt à relever ce défi en reléguant les plus virulents dans des cellules isolées. Encore faut-il les identifier formellement. Est-il nécessaire de rappeler aussi l’importance de former le personnel pénitencier pour qu’il s’adapte et faire face efficacement à ce nouveau profil de détenu. D’aucuns estiment urgent de songer dès à présent à bâtir des prisons de haute sécurité. Non seulement cela couterait cher, mais surtout le temps presse.Et il s’agit de neutraliser « illico presto » par tous les moyens ces maudits revenants. S’il est peut recommandé de les parquer dans une sorte de « Guantanamo », c’est à cause de la sulfureuse réputation de ce dernier qui a vu les américains infliger aux détenus d’El-Qaida des traitements inhumains, ce qui a suscité-comme on le sait- une levée de boucliers chez les défenseurs des droits de l’homme. Par contre, il ne serait pas illogique de les confiner dans un espace isolé comme celui de « Rjim Maâtoug » et les impliquer dans sa mise en valeur notamment agricole, sous l’oeil hautement vigilant de gardiens bien formés et zélés. Une façon de réinventer le concept de « Kibboutz » pour écarter toutes références aux goulags et autres « Guantanamo ».
Cette espace serait leur nouveau champ de bataille avec pour seules armes les outils nécessaires-entre autres- à la lutte contre la désertification
Cette espace serait leur nouveau champ de bataille avec pour seules armes les outils nécessaires-entre autres- à la lutte contre la désertification
Hedi Lazzem




